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femme architecte sur trepieds

Qui est l’âme d’Archirêves ? 

Découvrez  Valeria Cottone,

l’architecte qui saura transformer vos rêves de rénovation en projets de rêve

Confier un projet de sa propre maison ou de son logement, c’est une histoire de confiance et aussi de valeurs.

Les valeurs partagés entre le maître d’oeuvre et l’architecte s’unissent aux compétences de ce dernier pour créer une synergie, qui produira la transformation tant désirée.

Batir sa maison, c’est naître une deuxième fois.

Roch Carrier

Sicilienne à la base et architecte DPLG depuis 2004, Valeria Cottone est venue découvrir la ville de Marseille dans la même année. Tombée amoureuse de ses merveilles et ses paysages, elle s’y est installée.

Une passion, celle de l’architecture et de la décoration d’intérieure, qu’elle développe depuis longtemps avec un bagage d’expérience bâti dans plusieurs agences, des plus petites au plus connues. « L’idée de lancer Archirêves m’est venue car je me suis rendue compte, au fil de ma carrière, que les gens ont besoin d’avoir une personne de confiance pour développer leurs projets pour leurs maisons, leurs logements ou leur espace de travail. Se lancer à la recherche des artisans, les superviser, c’est un challenge qui leur prend trop d’énergie et de temps, sans forcement avoir les résultats espérés. Ils ont besoin d’un fil conducteur, d’un guide du début à la fin. Archirêves permet donc de voir réaliser ses projets en toute confiance. »

Une créativité dévéloppée par des racines familiales

Lorsqu’on a choisi de faire un certain type d’études et que la passion pour son travail reste telle quelle les années durant, c’est qu’une jolie histoire d’enfance a du inspirer et forger cette même passion.

C’est le cas aussi pour Valeria, qui nous délivre son histoire captivante. 

Un don de famille

« J’étais petite quand mon père me ramenait dans l’atelier de mon grand-père en Sicile … à Palerme. Il était artisan, on l’appelait « Mains d’or ». Il dessinait des décors pour les dames pour façonner leurs broches.

Il peignait des cadres, il créait des villes en 3D  avec les rues, les personnages, les voitures en bois peint ou en métal….et des crèches majestueuses pour Noël. Je me souviens encore d’une photo en noir et blanc qui traîne sur le buffet de l’entrée de la maison de mes parents : mon grand père et ma grand mère devant l’atelier Cottone !

Et puis, il y avait mon grand-père matérnel à Salerno près de Naples. Dans sa maison, par ci par là ses cadres peints à l’huile, des paysages, des visages méconnus ….

Petite, j’étais impressionnée par les réalisations de mes deux grand-parents. A 4 ans ou peut être encore plus tôt, avec un crayon à la main, j’avais commencé à dessiner aussi… ce qui était à l’époque ma prémière passion : les mangas japonais.

Parmi mes cousins et mes cousines, il paraît que j’étais la seule à avoir hérité de ce don.

deux photos en blanc et noir

La rencontre

« Et l’histoire se poursuit au lycée : une rencontre, un cours de dessin, un professeur-artiste qui regarde un de mes dessins (ce n’était pas de manga à l’époque) et qui me propose un autre parcours artistique que celui du programme scolaire et de mes camarades. Son chevalet en est un souvenir. Un cadeau avant de prendre sa retraite.

A partir de là, le choix était fait entre les beaux arts et l’architecture, sans vraiment savoir ce que signifié pour moi être architecte au début, un choix évident de créer des espaces, de façonner la ville, de donner vie à des lieux, de donner du sens aux choses, pour les gens … et pour soi. »

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